S’il est un personnage emblématique du jeu vidéo, au même titre que Mario, Pac-Man ou Sonic, c’est bien Link ! D’ailleurs, le héros de la saga The Legend of Zelda fait partie des portraits qui nous ont été les plus demandés. Alors aujourd’hui, et puisque la série fête ses 35 ans le 21 février… Il est temps de vous parler de Link !

Une saga légendaire vieille de… 35 ans

Imaginez Shigeru Miyamoto, le papa de Mario et de Link, alors qu’il n’est encore qu’un enfant. Son temps libre, il le passe à explorer la campagne, autour de la maison familiale de Kyoto. Il se promène à travers les champs, rencontre des villageois, flâne autour des cours d’eau… Et un jour selon lui, la plus grande aventure survient alors qu’il découvre une grotte dans la forêt. Après une brève hésitation, il commence à explorer cette caverne à l’aide d’une lampe…

Sans doute l’aventure a t-elle été exagérée par l’imagination débordante de l’enfant qu’il est. Toujours est-il que, dans la tête du petit Shigeru est plantée la graine de l’aventure, de l’exploration… Bref, de ce qui donnera des années plus tard un jeu vidéo dont il sera le co-auteur (avec Takashi Tezuka) : The Legend of Zelda.

Développé en parallèle de Super Mario Bros (Miyamoto supervise le développement des deux jeux), le 1er épisode sort au Japon le 21 février 1986, sur Famicom Disk System (extension de la Famicom). Puis en juillet 1987 sur les NES américaines, et en novembre de la même année sur les NES européennes.

Un jeu futuriste ?

Au début de son développement, le jeu ne s’appelle pas encore The Legend of Zelda, mais Adventure Title. Miyamoto et Tezuka s’inspirent alors de deux titres d’arcade. Le premier est The Tower of Druaga (Namco), un jeu d’arcade dans lequel vous enchaînez les donjons. Mais Miyamoto estime que cette compilation de labyrinthes manque de la dimension aventure/exploration. Cet aspect sera inspiré par Hydlide (T&E Soft).

Bien que Shigeru Miyamoto ait très vite imaginé un monde Heroic Fantasy, les premières ébauches nous font voyager dans le temps, entre le monde d’Hyrule et un futur technologique. La Triforce elle-même est une sorte de micro-processeur ou de puce que le héros doit trouver. Héros qui fait le « lien » entre les deux époques… D’où son nom : Link.

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Mais cet aspect futuriste n’est pas le seul qui sera abandonné en chemin (au profit d’un univers médiéval), au cours du développement. La team de Nintendo R&D4 fera aussi une croix sur le support arcade pour dédier exclusivement son jeu à la Famicom ; abandonnera la possibilité pour le joueur de créer ses propres donjons (possible sur Famicom Disk System, mais pas sur les simples Famicom étrangères) ; Et abandonnera aussi la possibilité de jouer avec le Zapper (le pistolet de la NES)…

Le titre du jeu évolue, pour devenir The Legend of… « Of » quoi ou qui ? Pour les développeur, il manque un bout dans le titre, il faut trouver un nom. Miyamoto apprécie les romans (et le prénom) de l’écrivaine américaine Zelda Fitzgerald. Alors pour lui rendre hommage, le jeu s’appellera The Legend of Zelda.

« The Legend of Zelda est un jeu où l’on doit explorer les endroits suspects, avec l’état d’esprit d’un enfant qui rentre seul dans une cave : le jeu doit le captiver. »

Shigeru Miyamoto.

Qui est Link ?

Avant de commencer la présentation de notre héros, une grosse précision s’impose, tant l’erreur est devenue commune ! Le personnage dont nous parlons aujourd’hui s’appelle « LINK » ! Alors, par pitié, cessez de l’appeler « Zelda » ! Car Zelda, qui donne certes son nom à la saga, est la princesse que vous devez aider… Et croyez-moi, la confusion est plus fréquente que vous ne le pensez !

Link est un Hylien (un habitant d’Hyrule), avec des oreilles pointues, et des cheveux initialement châtains clair, devenus blonds au fil des épisodes. Il est majoritairement habillé de vert (tunique et bonnet), portant la tenue présentée dans plusieurs jeux comme celle du héros légendaire. Son destin de héros est conditionné par le fait qu’à l’instar de Zelda ou de Ganondorf, il est l’un des trois porteurs de la Triforce.

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Plus précisément, c’est la Triforce du Courage (affiliée à la déesse Farore) qui est l’atout de Link… Face à la Force pour Ganon ou la Sagesse pour Zelda. Une qualité qui est indéniable lorsque l’on observe la psychologie de notre personnage, et qui le définit comme porteur légitime de l’épée sacrée (ou Master-Sword) ! Link porte en permanence un bouclier dans la main droite et une épée dans la main gauche… Mais il utilise aussi très régulièrement un arc et des bombes… Sans parler des nombreux autres objets à trouver dans les donjons.

On sait peu de choses sur le passé de cet orphelin, qui a néanmoins quasiment toujours un membre de sa famille à ses cotés. Ocarina of Time nous apprend qu’il a été élevé par le peuple Kokiri (peuple de la forêt), et dans The Wind Waker, il est sous la tutelle de sa grand-mère et a une sœur. Dans A Link to the Past, c’est son oncle qui l’élève… Vous l’avez compris : la difficulté est que les différents épisodes nous dévoilent différents passés de Link. Et la raison est très simple, et nous allons vous l’expliquer dans le point suivant !

Plusieurs héros, plusieurs histoires, plusieurs timelines

Image issue de Hyrule Historia.

Dans l’univers de The Legend of Zelda, dont les différents épisodes forment un tout, vous ne jouerez pas UN, mais PLUSIEURS héros appelés Link. Les histoires se déroulent à des époques différentes, avec des personnages différents (des réincarnations ou des descendants), et le scénario global de The Legend of Zelda se divise officiellement en trois timelines différentes, soit trois dénouements alternatifs.

La division s’effectue après Ocarina of Time. À la fin du jeu, soit Link est vaincu par Ganon (timeline de la Défaite, dans laquelle Link meurt et le monde se dégrade), soit il est victorieux. Cette deuxième option va elle-même créer deux cheminements : l’un avec Link enfant (il retourne dans le passé à la fin de OoT, le royaume continuera à âtre protégé par des réincarnations du héros)… L’autre avec un Link adulte et un royaume d’Hyrule scellé sous les eaux (Ganon sera scellé, mais les héros suivants ne seront plus des descendants ou des réincarnations de Link). Pour plus d’informations sur ce point, je vous invite à vous procurer les documents officiels, publiés dans l’ouvrage Hyrule Historia, livre publié en 2011 (voir aussi la frise ci-contre).

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Ainsi, par exemple, dans The Wind Waker ou dans Twilight Princess, il est fait allusion à la légende du Héros du Temps. Autrement dit, à un ancêtre qui est clairement le Link de Ocarina of Time. Et toujours dans Twilight Princess, un imposant Squelette en armure vous enseigne sept techniques secrètes et ne serait autre que le Link de OoT devenu mentor de son successeur. Plus troublant, dans un dialogue, il vous lâche un « mon fils » que chacun interprétera à sa manière…

Pourquoi porte t-il une tunique verte ?

Si l’on est pragmatique, Link porte une tunique verte parce que Miyamoto s’est inspiré du Peter Pan de Disney 🙂 Mais au fil de l’histoire de The Legend of Zelda, la série a fait la lumière sur cette tenue mythique, que seuls les descendants du héros légendaire ont le droit de porter… Et que vous finirez donc par porter dans chaque épisode. Parfois dès le début, parfois plus tard dans le jeu…

Et c’est Skyward Sword, sur Wii, qui nous dévoile l’histoire de cette tunique. On y apprend qu’elle est l’uniforme officiel des Chevaliers de Célesbourg. Et la couleur de la tunique correspond à la promotion de ces chevaliers. Et comme Link est le seul à remporter les épreuves, il sera le seul de sa promo à pouvoir porter cette tenue… Qui deviendra sa tenue officielle, et qu’il transmettra aux autres générations…

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Mais d’autres jeux de la série dévient parfois de cette explication. Dans Ocarina of Time (et Majora’s Mask), cette tunique est l’habit du peuple Kokiri… Dans Spirit Tracks, il s’agit de l’uniforme des apprentis soldats de la citadelle d’Hyrule… Et dans The Wind Waker, c’est une tenue qui a été fabriquée en l’honneur du Héros du Temps…

Quelle relation avec Zelda ?

Avouez que c’est une question qui vous taraude ! Existe t-il une relation sentimentale entre Link et Zelda ? Si l’on considère l’œuvre dans son ensemble, Link n’est qu’un chevalier-servant, qui aide Zelda à combattre le mal. Pourtant, dans plusieurs épisodes de la série, des scènes peuvent nous faire penser le contraire…

Ainsi, très clairement à la fin du second volet sur NES (Adventure of Link), un rideau se baisse sur le couple alors que la princesse se penche vers Link pour embrasser son sauveur. Dans Ocarina of Time, de nombreuses séquences montrent une romance naissante du point de vue de Zelda, qui a tout de même attendu Link pendant sept ans, avec une scène romantique en fin de jeu. Amour qui cependant n’aboutira pas, puisque la suite du jeu, Majora’s Mask, nous indique clairement que Link a épousé Malon à la fin de OoT.

Dans Skyward Sword (chronologiquement, la toute première histoire de la série), la relation amoureuse entre Link et Zelda ne fait aucun doute. La relation est beaucoup plus complexe dans Breath of the Wild, entre solide amitié et romance… Les deux protagonistes se vouant un respect mutuel, chacun étant prêt à mourir pour l’autre.

Le porteur légitime de la Master Sword

S’il est un artefact, dans le monde de Zelda, qui est indissociable de Link, c’est bien la Master Sword. L’épée la plus puissante que son porteur légitime finit toujours par obtenir dans le jeu. Souvent associée au Bouclier d’Hylia, elle est la seule arme à contenir assez de magie pour repousser Ganon.

Son histoire nous est dévoilée dans Skyward Sword, l’origin-story de la saga. La quête du Link de cette époque (le tout premier) consiste à obtenir l’épée Divine, qu’il devra forger avec les flammes des trois déesses. Il obtient ainsi la Longue Épée Divine, puis l’Épée Blanche Divine, et enfin l’Épée de Légende. Après un voyage dans le temps, Link la fait purifier par la déesse Hylia, afin d’obtenir la véritable Épée de Légende (alias la Master Sword) capable de vaincre l’Avatar du Néant… Le mal incarné qui, dans les autres épisodes, se réincarnera dans le corps d’un Gerudo : un certain Ganonforf.

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Notez aussi que la Master Sword est habitée par une âme. Créée par la déesse Hylia, elle se prénomme Fay. Elle a l’apparence d’une femme, à la couleur irisée, et apparaît dans Skyward Sword, où elle aidera Link (qu’elle appelle son maître) dans sa quête. Après le combat final, Fay s’endort, et Link plante la Master Sword dans la stèle qui permettra de la transmettre aux générations futures.

Dans A Link to the Past (SNES), l’épée est appelée Excalibur. Simple délire des traducteurs qui, à l’époque, voulaient lui donner un cachet plus occidental…

Le cas « Dark Link »

S’il est un antagoniste populaire dans l’univers de The Legend of Zelda, c’est bien Dark Link (aussi appelé Link Sombre ou Link Corrompu). Tenue noire, yeux rouges, mais même apparence et même aptitudes que Link… Si ce n’est que cette version est beaucoup plus badass que son modèle !

Dark Link apparaît pour la première fois dans… The Legend of Zelda II : Adventure of Link, où il fait office de boss final. Rien que ça ! Une galère puisqu’il reproduit à l’identique vos attaques… Par la suite, il reviendra dans d’autres épisodes de la série, vous offrant de superbes combats contre… Votre coté sombre !

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Son histoire est développée dans Twilight Princess. L’esprit de la Lumière Lanelle apprend à Link que ce sosie sombre pourrait être l’œuvre du masque des ombres. Face aux humains mortels, les Twilis (des sorciers bannis) ont créé ces doubles maléfiques, qui représentent le mal qui sommeille en chaque humain, et donc en Link.

Une théorie nous dit aussi qu’il ne faut pas confondre Dark Link et Shadow Link. Les « Dark Link » seraient, selon cette théorie, de simples reflets maléfiques du héros… Shadow Link (unique) étant, pour sa part, animé d’une âme propre, en faisant un antagoniste à part entière lorsque les Dark Link ne seraient que des mini-boss. Et selon cette théorie, le boss de fin de Zelda II évoqué plus haut serait Shadow Link.

Les jeux dans lesquels Link apparaît

Personnage phare de Nintendo, Link est évidemment présent dans de nombreux jeux. Voici donc la liste des titres dans lesquels vous pourrez le croiser. La liste étant déjà très longue, nous allons ici délibérément nous limiter à la série canonique The Legend of Zelda (nous ne parlerons pas de Super Smash Bros ou Mario Kart…) :

  • 1986 : The Legend of Zelda (NES)
  • 1987 : The Legend of Zelda II – The Adventure of Link (NES)
  • 1991 : The Legend of Zelda – A Link to the Past (SNES)
  • 1993 : The Legend of Zelda – Link’s Awakening (GameBoy)
  • 1998 : The Legend of Zelda – Ocarina of Time (N64)
  • 1998 : The Legend of Zelda – Link’s Awakening (GameBoy Color)
  • 2000 : The Legend of Zelda – Majora’s Mask (N64)
  • 2001 : The Legend of Zelda – Oracle of Seasons (GBColor)
  • 2001 : The Legend of Zelda – Oracle of Ages (GBColor)
  • 2002 : The Legend of Zelda – Four Swords (GBA)
  • 2003 : The Legend of Zelda – The Wind Waker (GameCube)
  • 2004 : The Legend of Zelda – Four Swords Adventures (GBA/GC)
  • 2004 : The Legend of Zelda – Minish Cap (GBA)
  • 2006 : The Legend of Zelda – Twilight Princess (Gamecube, Wii)
  • 2007 : The Legend of Zelda – Phantom Hourglass (DS)
  • 2009 : The Legend of Zelda – Spirit Tracks (DS)
  • 2011 : The Legend of Zelda – Skyward Sword (Wii)
  • 2011 : The Legend of Zelda – Ocarina of Time 3D (3DS)
  • 2013 : The Legend of Zelda – A Link Between Worlds (3DS)
  • 2013 : The Legend of Zelda – The Wind Waker HD (Wii-U)
  • 2015 : The Legend of Zelda – Majora’s Mask 3D (3DS)
  • 2016 : The Legend of Zelda – Twilight Princess HD (Wii-U)
  • 2017 : The Legend of Zelda – Breath of the Wild (Wii-U, Switch)
  • 2019 : The Legend of Zelda – Link’s Awakening (Switch)
  • 20?? : The Legend of Zelda – Breath of the Wild 2 (Switch, titre et date encore inconnus).

Deux gros boulets aux pieds

Aussi géniale que puisse être la série The Legend of Zelda… Elle traîne deux gros boulets. Deux grosses pustules que Nintendo aimerait bien voir disparaître à tout jamais… Car le comble est que le créateur de The Legend of Zelda n’en est pas le responsable. Du moins, pas directement.

Lorsque Nintendo décidait de ne plus faire fabriquer le lecteur CD de la SNES par Sony mais par Philips (plus d’infos ici), et comme ce lecteur ne verra finalement jamais le jour… Un compromis permettait alors à Philips d’utiliser des licences Nintendo sur sa console CD-I (comme Mario ou Zelda). Ainsi verront le jour sur CD-i Link : The Faces of Evil et Zelda : The Wand of Gamelon (octobre 1993), puis Zelda’s Adventure (1994).

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Graphismes moches, jouabilité horrible, scénario massacré, et intérêt nul… Pour beaucoup de joueurs (et encore plus les fans de Zelda), ces titres sont considérés comme de véritables « étrons vidéoludiques » ! Ces jeux sont de tels ratages que Nintendo refuse catégoriquement de les reconnaître comme des produits officiels. Et il suffit de regarder quelques secondes de gameplay pour comprendre pourquoi…

Second « boulet » dont on se serait bien passés : la série animée Princesse Zelda (Canada/USA en 1989). Soit une seule saison de 13 épisodes ! La Triforce qui devient « Force Trois » , Link présenté comme une mauviette (il passe son temps à s’excuser ou à se faire sauver par la Princesse) et un obsédé sexuel qui ne pense qu’à « pécho » Zelda… La série est très loin de faire honneur au jeu vidéo. Et comme les trois jeux cités plus haut, on l’oubliera très vite !

J’me coucherai moins bête

Pour terminer, comme d’habitude, nous refermons cette rubrique avec une salve d’anecdotes autour de notre héros du jour… Saviez-vous que…

  • Traditionnellement, Link est gaucher. Cependant, il devient droitier dans Twilight Princess sur Wii. D’une part parce que cette version est l’image inversée du jeu GameCube (en mode miroir), d’autre part parce que les développeurs considéraient que la majorité des joueurs sont droitiers, et que le gameplay à la Wii-Mote serait ainsi facilité. Pour une raison inconnue, il est aussi droitier dans Breath of the Wild.
  • Pour imaginer la tenue verte de Link, Shigeru Miyamoto a confié s’être fortement inspiré du Peter Pan de Disney.
  • De l’aveu de Miyamoto-san, un autre film lui a servi de référence et d’inspiration pour créer le personnage de Link : Legend, de Ridley Scott (un an plus tôt en 1985). Notamment le personnage de Jack (Tom Cruise), ou l’antagoniste Darkness (Tim Curry) que l’on comparera sans mal à Ganon.
  • Aux USA et en Europe, le premier épisode (NES) s’appelle simplement The Legend of Zelda. Mais au Japon, son nom complet est The Legend of Zelda : the Hyrule Fantasy.
  • Dans le tout premier Final Fantasy, dans les versions japonaise et américaine, on peut trouver la tombe de Link dans le village de Elfheim.
  • Link ne parle pas, et se contente de pousser des cris. Pourtant, il prononce des semblants de phrases dans deux jeux. Ainsi, on peut l’entendre dire « Come on » dans The Wind Waker, ou encore « Giddy up » lorsqu’il appelle Epona dans Twilight Princess.
  • Le regretté comédien Robin Williams a prénommé sa fille Zelda, en hommage au jeu vidéo. Le Youtuber français Tev (chaîne Ici Japon, il est aussi créateur de la marque Candysan) a prénommé son fils Link.
  • Link est le « guest » exclusif à la version GameCube de SoulCalibur II. Présence qui explique sans doute la popularité du jeu sur cette console.
  • Lors du développement du 1er volet de The Legend of Zelda, la musique du jeu devait être le Boléro de Ravel. Mais pour une question de droits, Nintendo a renoncé à cette option, faisant alors appel au compositeur de la série, Koji Kondo. Ce dernier a composé des thèmes devenus légendaires.
  • The Legend of Zelda a été adapté en manga à plusieurs reprises depuis 1989, date de sa première version par Yuu Mishouzaki.
  • « It’s dangerous to go alone ! Take this ! » C’est la toute première réplique de la saga The Legend of Zelda. Lorsque, dans la première grotte du jeu, un vieil homme vous remet votre toute première épée…

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