Il aura fallu attendre six ans pour voir venir la suite de The Legend of Zelda : Breath of the Wild. Le jeu qui a accompagné la Wii-U en fin de vie, et lancé la Switch en mars 2017. The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom reprend l’histoire là où nous l’avions laissée, pour une aventure promise comme plus longue, plus épique, plus tout ! Un jeu qui renvoie encore plus loin les limites de la permissivité, des possibilités ! Que vaut ce nouveau Zelda ? On vous dit tout !

Chronique d’un succès annoncé

S’il est un jeu qui était attendu depuis des mois, voire des années (il avait été annoncé il y a tout juste 4 ans), c’est bien ce nouveau Zelda ! Une suite de l’un des plus fantastiques épisodes de la franchise, le jeu qui a lancé la Switch (et enterré la Wii-U) et qui cumule plus de 30 millions de copies vendues. Le plus beau, le plus généreux, et sans doute aussi le plus marquant. Au point que l’on connaît tous une personne de notre entourage qui vous dira qu’elle n’a toujours pas terminé ce gargantuesque BotW, en 2023.

Souvenez vous : nous étions en juin 2019, lors de l’E3. Nous suivions en direct un Nintendo Direct riche en rebondissements. Jusqu’à la fin du live, avec un « One More Thing » qui aura mis le feu : dans une vidéo, on pouvait voir Zelda et Link explorant un souterrain. Une curieuse momie, une ambiance plus sombre et… C’était officiel ! Il y avait bien un Breath of the Wild 2, en développement pour une date encore inconnue. Certains imaginaient un nouveau jeu sur une Switch Pro, voire sur une Switch 2… Nintendo promettait la sortie du jeu sur la génération actuelle.

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Et après un report qui aura vu sa date de sortie passer de fin 2022 à mai 2023, c’est en effet sur cette bonne vieille Switch que sort le nouveau Zelda. Un jeu taillé pour devenir un hit. En témoignent les premiers chiffres de vente, puisque le nouveau triple A de Nintendo a battu tous les records avec plus de 10 millions de copies vendues en seulement trois jours. Ce qui a fait de lui le jeu le plus rapidement vendu de toute la saga The Legend of Zelda. Et aussi le jeu le plus rapidement vendu sur console Nintendo Switch en Europe. Et le jeu Nintendo le plus rapidement vendu toutes consoles confondues en Europe. 

Un record qui n’en est que plus méritant après un fâcheux épisode survenu quelques jours avant le lancement du jeu, le 1er mai. Un bad buzz qui n’est pas le fait de Nintendo, mais de hackers qui se sont procuré la copie de TotK, la diffusant largement et illégalement sur la toile. Des walkthroughs (vidéos de gameplay) entiers étant mis en circulation, et des pans entiers du scénario étant dévoilés sur la toile avant même que le jeu ne soit sorti officiellement. L’occasion de rappeler que se procurer une copie illégale, ou regarder ce type de vidéos tue à la fois l’industrie du jeu vidéo et votre plaisir. Mais revenons à notre copie bien légale du jeu !

On prend les mêmes et… On recommence ?

C’est une remarque que vous aurez sans doute entendue de nombreuses fois, en cherchant des infos sur le jeu : c’est le même que Breath of the Wild ! D’une certaine manière, oui… Mais… Pas que ! Et Nintendo nous a vraiment concocté un nouveau jeu. Et il faudra prendre la manette en mains, et aller plus loin que l’aspect visuel pour le comprendre. Le jeu reprend de nombreuses mécaniques que vous connaissez déjà : les recettes de cuisine, les armes qui se détruisent et que vous devez améliorer, les camps ennemis à nettoyer, les Korogus à débusquer, les sanctuaires, … Bref, d’une certaine manière, le système est très proche dans ce qu’il avait de bon dans le précédent opus. Mais comme vous le verrez un peu plus bas, ce nouveau jeu amène de nouvelles fonctions totalement inédites.

Le cadre, les personnages, le bestiaire… Sont les mêmes que dans l’opus précédent ! Et pour cause, puisque TotK est la suite directe de BotW. Partant de ce principe, avouez que ça aurait été compliqué de tout changer. Pour ne pas dire que cela aurait été étrange de faire table rase du passé, pour partir sur une toute autre patte visuelle. En réalité, ce nouveau jeu reprend le meilleur du précédent, et l’améliore, le complète. Les mécaniques en apparence « déjà vues » sont en réalité poussées plus loin. Et de nouvelles s’ajoutent.

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Tears of the Kingdom enchaîne donc juste après la fin de Breath of the Wild. Ce qui répond sans doute à l’une de vos questions : oui, il est préférable, voire recommandé d’avoir joué, et même terminé, le précédent opus pour mieux comprendre. Cependant, Nintendo étant Nintendo, la marque n’étant pas du genre à vous lâcher au dessus du vide sans parachute, le jeu se veut accessible au plus grand nombre… Vos premières heures seront accompagnées par un tuto, et les lignes de dialogue vous apporteront des pistes sur les événements précédents. Avant même de démarrer la partie, les connaisseurs de la série remarqueront que le jeu ne vous propose plus de nommer votre avatar comme bon vous semble ! Ici, ce sera… Link !

Puis, l’aventure démarre. Le Fléau a été vaincu à la fin de BotW, et Zelda est la souveraine bien aimée d’un royaume en pleine reconstruction. Tandis qu’elle explore les souterrains du château d’Hyrule en compagnie de son chevalier préféré, Link (vous), notre duo tombe sur d’étranges vestiges. Sur les murs, des gravures qui renvoient à la création du monde. Mais ces ruines cachent aussi un secret beaucoup plus sombre, et tout s’enchaîne très vite. Une nouvelle menace s’éveille, et fait basculer le royaume dans le chaos, l’épée de légende est brisée… Notre héros, lui, après avoir perdu connaissance, se réveille sur une île qui semble perchée… Dans les cieux ! Nous n’en dirons pas plus à propos du scénario, afin d’éviter les spoilers.

Une map vertigineuse

L’occasion d’aborder la question du « nouveau » Hyrule. Avec une notion qui n’est pas vraiment nouvelle, puisque si vous êtes un fan de la série, les voyages célestes vous parlent… Puisque vous avez déjà voyagé sur des îles perchées dans le ciel, dans The Legend of Zelda : Skyward Sword. Mais ici, le concept est poussé plus loin… Et s’intègre à ce Tears of the Kingdom, qui prend décidément de plus en plus des allures de jeu Zelda ultime. Encore plus que BotW, Tears of the Kingdom est une déclaration d’amour à l’exploration, à l’aventure. Il nous oblige à tenter des trucs pour découvrir, pour résoudre ses mystères. De ce point de vue, il n’est rien d’autre qu’un retour aux sources, à l’idée qui avait conduit Miyamoto à imaginer le tout premier The Legend of Zelda ! Un retour à ce qui est l’essence de The Legend of Zelda.

Il y a six ans, Breath of the Wild apportait une dimension inédite à la série en misant sur l’openworld. Un genre très à la mode, mais qui faisait preuve d’une maîtrise à tous les niveaux. Ça non plus, ça ne va pas changer avec TotK ! Mais si vous trouviez la map de Breath of the Wild gigantesque… Vous n’allez pas être déçus, car celle de Tears of the Kingdom est encore beaucoup plus vaste ! Sur le papier et sur un plan 2D, le royaume d’Hyrule est strictement le même mais… Dans ce nouvel opus, les Îles Célestes apportent de nouvelles couches, une verticalité à la carte, qui va multiplier la taille de votre terrain de jeu. Avec cette sensation absolument vertigineuse lors des transitions entre les zones : faites un saut dans le vide et vous comprendrez !

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La carte est plus grande, et les possibilités encore plus nombreuses. Si on a trouvé quelques zones un peu vides (sans doute pour des raisons techniques), il faut reconnaître qu’il y a tout le temps quelque chose à faire, où que vous alliez. Des tenues à débloquer, des coffres à trouver, des PNJ à aider, des bases ennemies à vider… On ne s’ennuie pas et, encore une fois, le joueur est libre de vivre l’aventure comme bon lui semble. Soit en rushant le jeu et en ne se concentrant que sur l’histoire principale. Soit en prenant le temps de découvrir tous les secrets cachés. L’environnement sauvage du jeu est en constante évolution, et vous réserve parfois des surprises plus ou moins agréables. Comme la Lune de Sang , qui survient de manière aléatoire, mais multiplie à la fois le nombre d’ennemis, et leur puissance.

Dans ce jeu en vue à la troisième personne, l’aspect qui pourra le plus agacer certains joueurs, ce sont les combats. Car comme dans l’opus précédent, vos armes et boucliers ont une durée de vie limitée. Elles s’usent, et il n’est pas rare de voir votre épée se briser tandis que vous êtes en plein combat. Gardez un œil sur votre inventaire, c’est important ! Pensez aussi à augmenter à la fois votre barre de vie (cœurs) et votre jauge d’endurance. Sinon, gare à la chute en pleine escalade (ou à la noyade). Le jeu se veut réaliste, et l’environnement peut aussi devenir un ennemi. Par exemple, lorsque vous explorez des zones enneigées, pensez à bien vous couvrir, ou à emporter des plats à base de piments pour vous réchauffer. Sinon, c’est le game over à cause d’un simple rhume, mais vous le savez déjà !

Quand Minecraft rencontre Zelda

En se réveillant dans le ciel, et sans vous dévoiler d’éléments qui pourraient vous spoiler le scénario, Link se retrouve vierge de tous pouvoirs. Exit ceux de BotW, il va donc en apprendre de nouveaux, liés à la technologie antique des Soneau, un peuple qui serait à l’origine du monde. Contenus dans votre bras (on vous laisse découvrir pourquoi et comment), ces pouvoirs vont vous permettre d’interagir avec votre environnement. Mais surtout de modifier à votre guise les règles du jeu.

Ainsi par exemple, Emprise (le premier que vous obtiendrez) vous permet de saisir un objet, et de le coller avec un autre, ou plusieurs autres. De coller par exemple des planches entre elles pour faire un pont. Ou des troncs et une voile pour former un radeau, très utile quand votre jauge d’endurance ne vous permet pas de nager longtemps. Amalgame vous permet d’associer un objet avec votre arme ou votre bouclier pour en augmenter la durabilité. Avec Infiltration, vous pouvez traverser les surfaces au dessus de vous. Et Rétrospective vous permet d’inverser le mouvement d’un objet pour, par exemple, le retourner à l’envoyeur… Et ce ne sont que les premiers pouvoirs que vous obtiendrez, au fil des premières épreuves faisant office de tuto du jeu…

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Comme je l’ai écrit plus haut, cette nouvelle mécanique est absolument géniale dans la mesure où elle vous permet de réécrire complètement les règles du jeu. Vous offrant ainsi une liberté incroyable ! Quand par exemple un précipice entre deux îlots nécessite de faire un détour plus ou moins long… Votre créativité associée avec Emprise peut vous permettre de gagner un temps précieux (et d’économiser votre vie) en traversant le vide en quelques minutes seulement. L’exploration prend alors une autre dimension, davantage axée sur la créativité. Et de ce fait, il devient impossible de rédiger une soluce de ce Zelda, puisque chaque énigme peut avoir de multiples solutions. Quelle est la bonne ? Elles le sont toutes, et c’est ça le génie de ce nouveau mécanisme !

Des petits ponts et radeaux du début, vous apprendrez vite à fabriquer des objets plus sophistiqués. Avec des propulseurs, avec des ailes… Vous pourrez fabriquer des véhicules, des avions, des bâtiments… Pour avancer, vous devrez expérimenter, laisser libre court à votre imagination ! Ne comptez pas sur des aides ou des explications, ici, il faut tester quitte à se tromper : dans ce cas, on défait sa construction et on recommence ! Tout est permis ! Vraiment tout ! Et c’est peu de le dire, tant vous pourrez trouver de vidéos à ce sujet sur YouTube. Avec parfois des réalisations complètements délirantes, comme des méchas ! Un joueur s’étant même amusé à reproduire par exemple, dans ce Zelda, le Metal Gear Rex du jeu vidéo Metal Gear Solid. Fou !

Une technique dépassée ?

C’est en effet LA question qui se pose, tant la réalisation du jeu va cristalliser les attentions. Car mettons fin au suspense : la technique est clairement le point faible de ce Tears of the Kingdom ! Et je ne parle pas ici de direction artistique, qui est ce qu’elle est (perso j’aime bien)… Mais qui est sans doute aussi conditionnée par les performances de la console, justement. Non, nous parlons bien de réalisation, des bugs en tout genre (aliasing, clipping, freezes, ralentissements…) qui trahissent une console Switch qui donne vraiment ce qu’elle peut, ce qu’elle a, mais qui est bien souvent à la peine.

Alors, très souvent en jouant, nous avons eu cette impression que TotK était bridé par de nombreuses contraintes techniques. Plus que Breath of the Wild. Ce qui est logique en soi, puisque le jeu se veut plus ambitieux, et nous sommes en 2023. Alors, les développeurs ont dû imaginer des astuces pour se rapprocher au maximum de leur idéal. Comme un effet de flou ou de brume, sans doute pour cacher des éléments lointains qu’il serait difficile à gérer. On aura aussi parfois cette impression de voir des zones de la map trop vides. Un vide que l’on retrouve souvent en hauteur. La verticalité tant attendue par les îles célestes se limite à des phases d’exploration et quelques donjons, mais… On aurait aimé plus.

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The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom est le jeu qui repousse les limites de la Switch, qui pousse la console de Nintendo dans ses retranchements. Certes, les graphismes n’ont pas vraiment évolué depuis 2017 mais… Il y a pire : du cliping, des ralentissements, voire des microfreezes, un aliasing assez prononcé en mode nomade (et aussi parfois en mode docké)… Votre Switch va littéralement roter du sang ! Tears of the Kingdom est un très bon jeu ! Mais qui souffre des limites techniques de la Switch. Au point que l’on a longtemps cru que Nintendo profiterait de cette sortie pour annoncer sa future console. Un peu comme pour The Legend of Zelda : Twilight Princess, initialement annoncé sur GameCube et qui sera aussi au final un jeu Wii. Ou Breath of the Wild qui aura accompagné le passage de témoin entre la Wii-U et la Switch.

Au chapitre de la technique, on pourra aussi parler du son, avec une VF absolument géniale. Et si Link joue encore les héros muets, c’est avec un grand plaisir que l’on retrouve Adeline Chetail (Ellie dans The Last of Us, Nausicäa, Kiki ou Arrietty chez Ghibli, Yor dans Spy X Family, l’avatar féminin dans Hogwarts Legacy…) dans le rôle de Zelda. Au casting vocal, on retrouve aussi Frédéric Souterelle (Kenshiro dans Hokuto no Ken, Chopper dans Overwatch, Kratos dans God of War) incarne Ganondorf. Vous y entendrez aussi les voix des très connus Donald Reignoux (la voix de Tom Holland, Lucio dans Overwatch…), Bernard Lanneau (la voix de Kevin Costner, Michael Keaton, Alec Baldwinn), ou encore Benoît Dupac (Onizuka dans Great Teacher Onizuka).

Au final

Après l’excellent Breath of the Wild, on pouvait légitimement se demander comment Nintendo allait pouvoir faire mieux. Et ils l’ont fait ! Comment ? À la fois en repoussant les limites de la carte d’Hyrule, mais aussi celles du joueur, et de la permissivité. Tears of the Kingdom n’est pas qu’un jeu qui s’enrichit de nouvelles mécaniques ! Celles-ci vous offrent des possibilités inédites et incroyables. Au point qu’il devient inutile de chercher des astuces et des tutos sur le web pour passer les différents obstacles qui vous barrent la route. Car dans Tears of the Kingdom, il n’y a plus un seul moyen d’attendre le but, mais des milliers. Et la meilleure option sera… Celle que VOUS aurez imaginé ! Comme son prédécesseur, il casse les codes du genre, en vous poussant à sortir du sentier tout tracé, à oser dessiner votre propre chemin. En ce point, TotK est un jeu incontournable, un hit en puissance, l’un des meilleurs jeux vidéo de tous les temps !

Bien sûr, il a ses limites, et on sait déjà ce que Nintendo doit impérativement améliorer pour lui offrir une suite qui place la barre encore plus haut ! Sa technique ! Car on ne va pas se voiler la face : TotK est aussi LE jeu vidéo qui nous montre que la Switch a atteint ses limites techniques. TotK est un jeu qui nous semble trop bridé par les limites d’une console en fin de vie. Il est très très bon, mais aurait été encore meilleur sur une console plus puissante. Faire mieux que ce que nous avons sous les yeux, cela semble aujourd’hui compliqué. Et faire plus beau, plus fluide, plus rapide… Ça passera obligatoirement par une nouvelle console plus puissante. Par une nouvelle génération dont on attendait vraiment l’annonce avec ce nouveau Zelda. Une génération un cran au dessus qui permettrait à TotK d’exprimer réellement tout son potentiel !

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Alors au final… The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom est un excellent jeu ! L’un des meilleurs de la Switch, assurément ! Malgré ses nouveautés, il ne nous a pas autant surpris que Breath of the Wild, mais il est plein de promesses, avec des mécaniques géniales et une durée de vie fantastique ! Son scénario, son gameplay, son ambiance, sa démesure… Sont aussi bons que pour son aîné. Hélas, il pêche par une ambition qui semble trop haute par rapport aux possibilités de son support.

Faut-il craquer pour ce nouvel opus ? Non, si vous n’aimez pas les jeux Zelda, ou si le gameplay de BotW vous a semblé trop complexe (celui-ci l’est encore plus). Mais oui, assurément (un énorme OUI donc) si vous êtes un fan de la saga, ou si vous avez adoré Breath of the Wild. Impossible de ne pas signer à nouveau pour plusieurs mois/années de jeu. Et si vous êtes un jour occasionnel, et que vous voulez aller à l’essentiel sur Switch, c’est l’un des 5 titres à posséder absolument. À l’image de Super Mario Odyssey, The Legend of Zelda : Breath of the Wild, Animal Crossing New Horizons , Mario Kart 8 Deluxe


The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom

  • Par : Nintendo
  • Sur : Switch
  • Genre : Action/aventure/RPG
  • Classification : PEGI 12
  • Prix : 69,99€
  • Conditions de test : testé sur une version fournie par l’éditeur après de très longues heures de jeu

Les + :

  • Une aventure épique
  • La musique
  • Le doublage VF
  • Un vrai openworld
  • Le scénario, plus sombre
  • La nouvelle mécanique de craft
  • Les nouvelles mécaniques complètement pétées
  • La verticalité, qui multiplie la taille de la map
  • Ressortez vos Amiibo pour des contenus exclusifs
  • C’est vous qui décidez de votre manière de jouer
  • Dans « jeu vidéo » il y a le mot « jeu » !

Les – :

  • Techniquement dépassé : son principal défaut c’est… La Switch, qui n’est plus adaptée
  • Des zones vides
  • Quelques bugs d’affichage (ralentissements, clipping, aliasing, chutes de framerate…)
  • La disposition des touches, on s’emmêle parfois les pinceaux