Il est le premier gros jeu triple A que nous attendions, en ce début d’année 2020. Il est temps de vous donner notre avis sur Dragon Ball Z Kakarot, énième titre inspiré du manga d’Akira Toriyama !
Dragon Ball, c’est la vie !
Dois-je vous faire l’affront de vous expliquer ce qu’est Dragon Ball Z, ou DBZ pour les intimes ? Car s’il est un manga qui est devenu intemporel, c’est bien celui-ci. Créé par Akira Toriyama en 1984, il est encore aujourd’hui très populaire. Et sa communauté de fans (réunie derrière le slogan Dragon Ball c’est la vie) se compte par millions à travers le monde.
Le shonen se compose de 42 tomes, adaptés en anime. Notez d’ailleurs que la version papier s’appelle Dragon Ball du début à la fin. Et c’est la TV qui a instauré le nom Dragon Ball Z, dès lors que l’on y voit un Goku devenu adulte (DBZ commence avec la naissance de Gohan et l’apparition de Radditz).
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Bien que l’histoire soit terminée (même si sa suite, Dragon Ball Super, est en cours), la licence DBZ est toujours aujourd’hui parmi les plus juteuses. Pas étonnant donc de voir de nombreux produits dérivés débarquer régulièrement.
Et le jeu vidéo n’y fait pas exception, avec en moyenne un nouveau titre par an, chez Bandai-Namco. En japonais ou en VF, tous supports confondus, on compte aujourd’hui 75 jeux estampillés Dragon Ball (la liste ici). Et le Dragon Ball Z Kakarot qui nous intéresse aujourd’hui (sur PS4, Xbox One et PC) est le 75e titre de la série. Le jeu est développé par CyberConnect2, que l’on a vu notamment à l’œuvre sur les Naruto…
Réveille le fan qui sommeille en toi !
Si vous avez connu les années 90, et le plaisir de se lever le matin, pendant les vacances, pour regarder les épisodes de DBZ dans le Club Dorothée… Alors, vous allez replonger direct ! Car autant vous le dire : ce DBZ Kakarot est une pure machine à fan-service !
Et tout débute dès le générique du jeu (voir le trailer ci-dessus) ! Des les premières notes, pour le vrai fan de Dragon Ball Z, cette intro est orgasmique avec Chala Head-Cha-La, le génialissime générique japonais de l’anime ! Et ce n’est pas fini, car plusieurs musiques de la série (mais pas toutes) sont bien présentes, en versions réorchestrées ! Du thème qui accompagnait le résumé du début de chaque épisode aux musiques lors des combats… L’ambiance musicale est enfin celle que l’on attend depuis des lustres !
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Le plus beau dans cette histoire, c’est que vous aurez toutes ces musiques par défaut, gratuitement ! Contrairement à un Dragon Ball FighterZ, Bandai-Namco n’a pas eu, cette fois, l’idée contestable de vous proposer ces musiques avec un DLC payant (dans FighterZ, chacun des deux « Anime Music Pack » est tout de même vendu 15€).
Paradoxalement, si ce fan-service procure du plaisir au premier abord, il finit par éveiller une certaine frustration. Visiter la maison de Gohan (grand-père de Goku), croiser Nam ou le Ruban Rouge et la Tour du Muscle… Les nombreuses références à Dragon Ball feront plaisir au fan… Mais en même temps, un regret s’installe. Et l’on rêve d’un vrai jeu DB ultime, qui aurait débuté son histoire par la rencontre entre Goku et Bulma… Dragon Ball Z Kakarot semble nous dire qu’il aurait été capable, avec plus de moyens et de temps… De nous offrir une aventure inspirée des 42 tomes du manga… Et ici, l’univers de Dragon Ball est si bien retranscrit que l’on aurait vraiment aimé…
Un RPG Dragon Ball Z
Cela ne vous aura pas échappé ! Dragon Ball Z Kakarot est un RPG ! Après des années de baston pure et dure, ce Kakarot vient changer les codes des jeux Dragon Ball Z en reprenant une direction qu’avait pu commencer à prendre Dragon Ball Z Budokai Tenkaichi 3. Vous pourrez ainsi vous balader en volant sur la map, pour vous rendre d’un point d’intérêt à un autre. Ce qui ne signifie pas cependant que nous sommes dans un monde ouvert à 100%, puisque le monde de DBZK est divisé en régions. Vous devrez les débloquer (au fil de l’histoire), et aller sur une map générale pour vous rendre rapidement d’une zone à une autre.
Pour le reste, vous allez retrouver ici tous les ingrédients d’un bon RPG. Du leveling et de l’XP à la fin des combats, des techniques dont vous devrez gonfler les statistiques, des items pour restaurer votre énergie ou upgrader vos stats, des nombreux dialogues, ou encore des PNJ qui vous confieront des quêtes annexes. Et le boost deviendra encore plus rapide dès lors que vous pourrez chasser les fameuses Dragon Ball, et invoquer Shenron…
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On pourra aussi s’attarder sur un point très intéressant : les communautés. Lorsque vous croiserez un personnage connu de la série, vous obtiendrez une médaille à son effigie. Celle-ci sera à placer sur l’un des 7 sphériers communautaires, thématiques (combattants Z, bouffe, trésors, dieux, adultes…). Choisissez bien vos emplacements, car certains sont reliés entre eux, et gonfleront vos stats en fonction des affinités entre les personnages. Un fan de la série pourra donc être avantagé, s’il se souvient que le lien est plus fort entre Yamcha et Pu-Erh (Plume en VF), qu’entre Yamcha et Mamie Voyante.
Les combats sont toujours de la partie
Mais rassurez-vous ! Si vous aimez jouer à DBZ pour tabasser, les combats sont toujours de la partie. Comme dans tout bon RPG, aux combats liés à l’histoire s’ajoutent des batailles aléatoires, avec des ennemis qui vous tombent dessus sur la map. Robots du Ruban Rouge, Saïbamen, Mini-Cells… Si vous pouvez les voir (et les éviter) sur la carte, ils constituent des réserves plus ou moins intéressantes d’XP… Ça tombe bien, il faudra parfois farmer !
Le système de combats, particulièrement dynamique, est très proche de ce que vous avez déjà pu voir dans Xenoverse. Aux coups de base, parades et projections s’ajoutent des techniques spéciales (Kameha, Masenko, Final Flash…) que vous pourrez déclencher une fois votre jauge d’énergie suffisamment remplie. Comme dans Xenoverse ou FighterZ, chaque personnage dispose de quatre slots. Donc de quatre techniques que vous devrez affecter aux touches adéquates (L1+rond, carré, croix ou triangle). Vous devrez les upgrader, ou en trouver de nouvelles, en visitant les différents camps d’entraînement répartis sur les maps. Passage obligé pour progresser, votre niveau ne suffit pas à surclasser l’adversaire.
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Si la touche L2 vous permet de bloquer, il ne faudra pas négliger X, qui vous permet de vous téléporter. Hélas sur une courte portée, l’ennemi se situant souvent loin de vous (il faudra alors spammer X pour se rapprocher suffisamment). Enfin, comme dans Xenoverse, vous pouvez aussi vous aider en affectant des items de régénération à quatre autres slots. Accessibles via la croix de direction plus une touche. Il est possible d’expédier les combats soit en spammant comme un fou… Soit en y mettant un peu de technique, bien que celle-ci soit au final assez limitée.
Ce n’est pas le scénario qui va vous surprendre
Merci Cap’tain Obvious ! Ça, on s’en doute depuis que le jeu a été annoncé ! Car si, avec les Xenoverse ou FighterZ, Bandai-Namco avait pris le parti de l’originalité avec des scénarii alternatifs, Kakarot marque un retour aux sources, à l’histoire classique de la série. Dans la mesure où le dernier bébé de Bandai-Namco reprend en long et en large le scénario de l’anime Dragon Ball Z, on se doute que l’histoire sera celle que l’on connaît par coeur. Celle que l’on a déjà vécu une bonne cinquantaine de fois auparavant, depuis que les jeux vidéo DBZ existent.
Aussi, à moins que vous n’ayez passé les trente dernières années dans une grotte, il sera impossible de vous spoiler ! Vous allez incarner Goku… Et vous devrez tour à tour battre Radditz, Nappa et Vegeta, le Commando Gynue, Freezer, les Cyborgs, Cell et Majin Buu… Un air de déjà vu ? En revanche, on s’amusera de jouer des petites scènes jamais vues dans un jeu vidéo, qui venaient aérer la série, ou faisait l’objet d’une vignette dans le manga. Comme Goku et Piccolo qui passent leur permis de conduire.
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Si j’écrivais plus haut que le jeu vidéo s’inspire de l’anime Dragon Ball Z, il serait plus pertinent de le comparer à Dragon Ball Z Kai. Autrement dit, la même histoire, mais parfois édulcorée, privée de scènes qui pourraient s’avérer choquantes. Ici, je pense en particulier, par exemple, à l’issue tragique du combat entre Nappa et Ten-Shin Han, présenté ici dans sa version « light » !
Et si la mise en scène est particulièrement réussie (le sacrifice de Piccolo face à Nappa est visuellement plus spectaculaire que dans l’anime), n’oublions pas que nous sommes dans un jeu vidéo. On va donc aller à l’essentiel, pour ne pas casser le rythme : vous êtes là pour jouer, le rythme du récit est donc plus rapide. Parfois, cela a du bon : l’explosion de Namek en 5 minutes qui durent en réalité 25 épisodes dans l’anime, ce n’est pas pour DBZ Kakarot !
En revanche, certaines scènes se voient ainsi privées de toute l’émotion qui allait avec la séquence, le coté dramatique est souvent minimisé. Dans celle évoquée plus haut, si le sacrifice de Piccolo reste triste, on ressent moins ici le coté tragique de la scène. Et ce n’est hélas pas un cas isolé (mais le fait d’avoir déjà vécu ces scènes des centaines de fois auparavant y joue sûrement aussi) !
Techniquement, c’est chouette, mais…
Vous l’aurez compris en voyant les images qui illustrent cet article : le jeu est assez joli à regarder ! C’est coloré, lumineux, la mise en scène est particulièrement dynamique et réussie, et les cut-scenes semblent tout droit sorties d’un anime DBZ ! Voire du manga, dont le jeu reprend souvent les plans avec une grande fidélité. Encore une fois, les fans seront aux anges sur ce point !
On appréciera aussi quelques petits détails fort sympas, comme les longues traînées laissées dans le sol lorsque votre personnage atterrit de manière un peu brusque, ou lorsqu’un adversaire est projeté à terre… Enfin, si les textes sont en VF, merci à Bandai-Namco de nous offrir les voix japonaises, et non cette hérésie de voix US (même si on aurait aimé retrouver Brigitte Lecordier, Patrick Borg ou Éric Legrand dans une vraie VF).
Pourtant, in game, on ne pourra s’empêcher de noter quelques éléments qui trahissent un jeu finalement limité techniquement. Notamment des textures qui datent de quelques années : des feuillages d’arbres composés de simples textures plates… Ou encore des rochers très anguleux. Et il est curieux de constater que le dernier arc, Buu, bénéficie d’une réalisation supérieure : effets de vitesse, rendu crayonné sur certaines actions pour renforcer la pêche des événements… On a parfois l’impression que l’arc Buu n’a pas été développé en même temps, ou par la même équipe, que les deux autres…
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Je passerai rapidement sur les bugs d’affichage, qui ne nous seront pas épargnés ici. Des persos qui passent à travers les textures du sol, une caméra pas toujours placée au bon endroit… Rien de bien extraordinaire, mais… Nous sommes en 2020 ! Et des défauts que nous aurions pardonné en début de génération jurent davantage en fin de vie de cette génération, supposée mieux maîtrisée par les développeurs… De même, on pestera parfois sur des temps de chargement trop longs… Vraiment trop longs (surtout lorsque, pour une simple ligne de dialogue, il faut se déplacer sur la carte du monde, manip qui occasionne des temps de chargement à répétition).
Enfin, s’il est un détail esthétique que j’espérais vraiment voir faire son grand retour, c’est bien la dégradation des fringues ou des armures, au fil des combats. CyberConnect2 (les jeux Naruto) sait le faire, et l’a déjà fait par le passé (même sur des générations de consoles plus anciennes). C’est peut-être juste un détail, mais voir la tenue de Goku ou de Vegeta s’abîmer en temps réel, c’est un élément fort pour vous immerger dans un jeu DBZ !
Et la durée de vie dans tout ça ?
J’ai pu voir, ici ou là, des critiques du jeu parlant d’une durée de vie autour de 35 heures. C’est vrai si vous rushez l’aventure principale. 35 heures environ en ligne droite, pour revivre les arcs des Saiyens jusqu’à Buu, ça me semble cohérent.
Mais… Car il y a un mais… Vous pouvez très facilement doubler (si ce n’est plus) cette durée de vie si vous faites les quêtes annexes. Ainsi, si votre but est de finir le jeu à 100% et obtenir le trophée de platine, comptez plutôt entre 70 et 80 heures, selon votre rythme… Ou selon votre niveau.
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Car, comme tout bon RPG qui se respecte, DBZ Kakarot est plutôt généreux en termes de quêtes annexes. Certes, beaucoup sont des « quêtes FedEx » (allez chercher des pommes pour untel, livrez tel objet à tel personnage…), mais beaucoup peuvent avoir leur utilité, puisqu’elles vous permettront de glaner des objets aux effets parfois utiles. Entre deux lignes scénaristiques, vous pourrez aussi jouer au base-ball avec Gohan, pêcher de gros poissons comme au tout début du manga, passer votre permis de conduire, ou cuisiner… Parfait pour se détendre avant la fin du monde !
De plus, et on en revient au coté fan-service du jeu, elles vous permettront aussi de croiser des personnages parfois oubliés de la série. Bien que beaucoup de PNJ rencontrés soient de simples villageois, vous croiserez aussi, par exemple, Mamie Voyante, le cyborg pacifiste Franky, Lunch… Ou vous pourrez apprendre ce qu’est devenu Nam, ancien combattant du tournoi d’arts martiaux ayant rencontré Goku enfant… Mais…
… Mais on aurait aimé un peu plus !
Allons-y, chipotons un peu ! Car si Dragon Ball Z Kakarot est un bon RPG, qui offre beaucoup aux fans de la série… Ceux-ci vont rapidement faire le constat que… En termes de narration, le jeu se contente du strict minimum, à savoir le contenu du manga ! Aussi bon que soit ce jeu, il n’est pas encore le jeu DBZ ultime !
Comme je l’écrivais plus haut, tout ce fan-service poussé à l’extrême nous frustre de ne pas voir la partie Dragon Ball (Goku enfant) intégrée au récit, lorsque les personnages secondaires sont bien présents dans le jeu… Mais vous devez savoir que le jeu n’intègre pas non plus les différents OAV. Ils auraient pu apporter de la diversité dans les ennemis, et dans les personnages évidemment. Cependant ici, pas de Bojack, Broly, Thalès ou Slug… Mais pour ce point, on imagine facilement que Bandai-Namco a prévu de gagner un peu plus d’argent en vous vendant des DLC par la suite.
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Le jeu prend d’une part des éléments furtifs du manga pour en faire des minijeux… Mais d’autre part, il zappe complètement des passages qui auraient pu être ici beaucoup mieux exploités. La partie durant laquelle Goku parcourt la Route du Serpent pour arriver chez Kaïo est expédiée en un screen, lorsqu’elle aurait pu faire l’objet d’une épreuve à part entière. Dommage, d’autant que, de ce fait, le joueur ne ressent pas la pénibilité de cette épreuve ni le fait que Goku ait mis six mois à parcourir ce chemin (sur les un an le séparant de l’arrivée des Saiyens).
Enfin, je vais conclure cette partie par un autre point qui, à mon sens, aurait mérité d’être corrigé : l’utilisation pas toujours optimale des musiques. Comme je l’écrivais plus haut, certaines scènes perdent leur coté dramatique à cause de la mise en scène… Mais aussi parfois à cause de la musique, ou plutôt de sa non-utilisation. Lorsque Trunks tue Freezer dans l’anime, la scène est renforcée par le thème bien badass qui accompagne la séquence. Ici, la musique n’est quasiment pas présente durant cette scène, lui faisant perdre de son impact. Les développeurs se sont loupés sur ce point à plusieurs reprises…
Au final
Au final, bien que le constat soit mitigé sur certains points, ce Dragon Ball Z Kakarot honore le contrat. Et d’un point de vue personnel, je dois vous avouer que le fan-boy que je suis a pris beaucoup de plaisir à revivre les aventures de Goku et ses amis.
Vous l’aurez compris : Dragon Ball Z Kakarot, c’est du pur fan-service en barre si vous aimez la licence ! Si vous avez refoulé, au fond de vous, un coté « totalement accro », DBZK va sévèrement vous faire replonger, et ressortir vos mangas ou vos coffrets DVD ! Mais il ne sera qu’un simple RPG sympa et pas trop mal foutu de plus (bien que moins abouti qu’un Final Fantasy), si vous n’aimez pas DBZ, ou si Goku et ses amis vous indiffèrent…
Le jeu est bon, mais est-il le DBZ ultime ? C’est un autre débat ! Et j’ai beaucoup de mal à m’en convaincre, notamment à cause de ses défauts (graphismes datés, téléchargements, scénario vu et revu…) qui ressemblent davantage à de la solution de facilité (voire de la paresse) de la part des développeurs qu’à de vraies contraintes techniques. Le jeu ultime DBZ, ce n’est pas encore pour aujourd’hui, mais on s’en rapproche doucement…
Dragon Ball Z Kakarot
- Par : CyberConnect2, pour Bandai-Namco.
- Sur : PS4, Xbox One et PC.
- Genre : Aventure/RPG.
- Classification : PEGI 12.
- Prix : 69,99€ pour la version standard.
On a aimé :
- Très joli à regarder
- Des musiques (réorchestrées) venant tout droit de l’anime
- Les voix japonaises
- Sous-titres en VF
- Les trois arcs principaux sont là
- Des mécaniques RPG fonctionnent bien
- Les tableaux communautaires
- Des combats dynamiques
- Solide durée de vie
- Une foultitude de clins d’œil, du fan-service à 300%
On aime moins :
- Forcément, c’est le même scénario depuis 30 ans
- Répétitif à la longue
- Des textures qui datent un peu
- Des scènes censurées, et beaucoup trop d’ellipses
- Les issues dramatiques qui semblent ici minimisées : ça va trop vite
- Beaucoup de quêtes FedEx
- Des combats qui peuvent être expédiés en spammant les touches
- Les pu… de temps de chargement
- Tu sens venir les DLC à plein nez
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