Une expo pour se reconnecter, même sans cordon ombilical

Inspirée par les thèmes forts du jeu (solitude, reconstruction, survie, connexion), cette exposition n’est pas une simple vitrine de fan-art. C’est une traversée sensible, un écho artistique à ce que propose Kojima dans son œuvre.

Chacun des artistes invités a interprété à sa façon le monde fracturé de Sam Porter Bridges. Le but n’est pas de coller à l’univers du jeu au pixel près, mais de l’explorer, de le tordre, de le ressentir autrement.

Les artistes au service du lien

Au programme : des œuvres de Ads Libitum, Augustin Bézine, Cy., Maxime Macchi, Nop Pixels, Oskunk, Petite Fleur, Pikanoa, Rico Jr, Théo Lescot (alias Pardon) et Vincent Pascal.

Des noms qui parleront peut-être aux fans d’art urbain, d’illustration, de pixel art ou d’abstraction poétique. Chacun propose une lecture singulière de la quête de lien au cœur de Death Stranding 2.

Un pont entre l’art contemporain et le jeu vidéo

Death Stranding 2, annoncé comme la suite spirituelle du premier opus, reprend Sam et ses acolytes dans une nouvelle odyssée au-delà des UCA.

Cette fois, l’enjeu est encore plus vaste : affronter une extinction annoncée, dans un monde plus hostile et surnaturel que jamais. Comme le suggère Kojima, la question n’est plus seulement comment créer des liens, mais bien fallait-il vraiment le faire ?

Infos pratiques (et pratiques à noter)

L’entrée est libre, l’ambiance unique, et les émotions garanties. Que vous soyez fan hardcore du premier épisode ou simple amateur d’art contemporain curieux, L’Art en Seine promet une expérience rare.

Et si vous voulez en savoir plus sur Death Stranding 2 ou ses origines, direction notre test complet du le premier Death Stranding ou notre suivi des annonces de Kojima Productions.

On vous conseille de venir tôt, d’embarquer votre curiosité, et surtout de ne pas oublier… votre sens du lien. Parce qu’ici, même les artistes marchent dans les traces de Sam, en traçant leur propre chemin.