Et voilà ! Phoenix Wright n’était sans doute pas là pour venir, à la barre, défendre Nintendo condamné dernièrement pour « repompe de moteur vibrant dans ses manettes » par la société Anascape Ltd !
La plainte avait été déposée en 2006, contre Big N et contre Microsoft… Mais ce dernier, plus malin, avait choisi de régler le problème avec une « petite enveloppe d’espèces sonnantes et trébuchantes ». Nintendo a voulu voir si régler cette situation indélicate façon Ace Attorney allait payer…
Et finalement, la « boite à Mario » a perdu puisque le tribunal a tranché en faveur de Anascape, condamnant Nintendo à débourser 21 millions de dollars (13,5 millions d’€)… Bien entendu, le géant japonais a décidé de faire appel.